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Identifier des candidat·es à la franchise, c’est une chose. Les amener jusqu’au bout du recrutement en est une autre. En tant que franchiseur, vous cherchez bien naturellement à valider chez vos candidat·es leur projet entrepreneurial, leur profil psychologique, leurs compétences clés… Mais est-ce que vous vérifiez également leur santé financière ? L’expérience montre que c’est trop rarement le cas.
Pourtant, il n’est pas rare que des candidat·es se voient refuser leur demande de prêt par les banques. Ce peut être en raison d’un manque d’apport personnel, d’un endettement trop élevé, d’une situation personnelle précaire… Le problème est que cette étape clé dans un projet de création d’entreprise arrive en fin de process. Et, en cas d’échec, génère une perte de temps et d’argent conséquente pour la tête de réseau.
C’est pourquoi prévalider la capacité d’emprunt de vos futur·es franchisé·es dès les premières étapes du process de recrutement est un point stratégique pour sécuriser et dynamiser vos développements. Certaines enseignes en franchise se mettent à établir des procédures qui calibrent les critères qu’un·e candidat doit respecter pour prétendre à un financement, au vu des attentes des banques. Certes, la question du financement est délicate à aborder avec l’entrepreneur·se qui entre dans votre écosystème. Elle peut être perçue comme de l’ingérence et aller à l’encontre de la relation de confiance que vous devez réussir à construire avec vos futur·es franchisé·es. Toutefois, des intermédiaires (experts comptables, avocats, courtiers indépendants, conseils…) vous accompagneront dans cette démarche pour avancer en toute sérénité.
