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Imprimer sur tous types de supports : métal, bois, céramique, plastique, etc. Voilà tout l’intérêt de l’imprimante C-Printer, capable d’assurer une impression rapide et de qualité photo, aussi bien pour la fabrication d’exemplaires uniques que pour des plus grandes séries. De la machine à la franchise : C-Printer Factory recrute aujourd’hui des franchisés sur tout le territoire.
Derrière C-Printer Factory, Paul-Luc Pérez. L’entrepreneur auvergnat est aussi à la tête d’OTC Concept, le distributeur des célèbres pastilles Pulmoll en pharmacie. Ou encore de BBP (anciennement Bonbonprint), spécialiste de la personnalisation de boîte en métal, et notamment de bonbons artisanaux fabriqués en Auvergne. Mais avec C-Printer, machine d’impression numérique fabriquée en 2019, le champ des possibles s’est considérablement élargi. Rappelons-le, toute la partie technique est développée en interne, tout comme le SAV. Et les machines sont assemblées en Auvergne. « On a présenté notre machine en 2020 au salon international de la confiserie (ISM) à Cologne en Allemagne […] Avec à la clé nombre de demandes pour intégrer notre machine dans des magasins et points de vente. Le concept a plu, mais les dimensions de la C-Printer ne correspondaient pas totalement à ce qui était recherché, la machine étant trop volumineuse pour pouvoir s’intégrer à tous types de surfaces. On a alors créé un nouveau format, et la C-Printer Mini a fait un carton au salon de Cologne en 2023 », explique Paul-Luc Pérez. Bref, le développement des machines est permanent, pour s’adapter aux besoins des franchisés
ON CHERCHE DES FRANCHISÉS QUI ONT EN EUX UN ESPRIT COMMERCIAL ET COMMERÇANT
Plus qu’une machine, un concept clé en main
Et qui dit concept dit franchise. C-Printer Factory devient un réseau en quête de nouveaux franchisés. Des boîtes de bonbons, c’est désormais sur tous types d’objets en volume sur lesquels il est possible d’imprimer, comme les boîtes à sucre ou à savon, et ce jusqu’à 40 cm de hauteur. Surtout, contrairement à nombre d’enseignes qui impliquent d’ouvrir un point de vente (et payer le loyer qui va avec), n’importe qui peut, depuis chez lui ou dans un lieu très restreint, accueillir la C-Printer Mini. Quiconque peut donc devenir franchisé ? « On cherche des franchisés qui ont en eux un esprit commercial et commerçant, peu importe leur expérience […] La réussite passera par leur capacité à aller au contact des clients et se créer un réseau dense sur leur territoire », défend Paul- Luc Pérez. Car l’entrepreneur le rappelle, une fois qu’ils ont rejoint le réseau et qu’ils bénéficient donc de l’imprimante C-Printer, à eux d’aller chercher leurs clients : des particuliers qui organisent baptême, communion ou mariage ; des associations ; des entreprises pour leurs événements ; ou encore des commerçants qui peuvent créer leur propre marque à partir de très petites quantités.
Proposer une imprimante miracle fait-il pour autant de vous un franchiseur ? Après tout il suffit d’acheter la machine et avancer de son côté… Ce serait oublier tout ce dont le modèle en réseau vous offre. « Notre concept permet de bénéficier des machines évidemment, mais aussi des logiciels liés à la gestion de la machine et à l’impression facile (clic & print, ndlr), soit un service clé en main qui vise à être à la portée de toutes et tous […] Surtout, on vient aussi en sous-traitance de nos franchisés, c’est-à-dire que l’on assure une capacité de production à nos franchisés qui feraient face à une demande trop importante. Enfin, tous nos franchisés bénéficient des campagnes de communication et marketing que nous mettons en place chaque semaine », détaille Paul-Luc Pérez.
Un développement national et au-delà…
Évidemment, rejoindre le réseau C-Printer Factory implique des contreparties. Comptez 17 000 euros pour les droits d’entrée, une semaine de formation payante, pour un investissement total estimé à 50 000 euros. Derrière, une rentabilité dès la première année mais une prévision de chiffre d’affaires (CA) qui dépend de votre capacité à « trouver des clients et créer son propre réseau ».
Quatre franchisés ont rejoint les rangs de C-Printer Factory en 2023, pour couvrir plusieurs départements : Nord, Pas-de-Calais, Morbihan, Vaucluse, Allier et Puyde- Dôme. « En réalité, c’est une logique de concession […] Avec un concessionnaire- patron sur un territoire chargé de trouver d’autres revendeurs, appelés corners, avec ou sans machine d’impression. Nous avons eu 6 nouveaux concessionnaires entre janvier et juillet 2024 et nous aspirons à en avoir 10 de plus d’ici à la fin de l’année », ambitionne le réseau, qui se réjouit aussi d’accueillir trois nouveaux corners en Belgique. Bien mailler le territoire national, avant d’assurer une présence à l’étranger, pays limitrophes dans un premier temps… puis États-Unis !
GEOFFREY WETZEL
