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Les chercheurs de l’université américaine John Hopkins – université privée américaine, située à Baltimore, au Maryland, elle doit son nom à John Hopkins, un entrepreneur qui lui a légué à sa mort 7 millions de dollars – ont très tôt décidé d’offrir un suivi en temps réel des chiffres clés de la pandémie dans le monde, continent par continent, pays par pays : le nombre total des malades déclarés, celui des décès et par soustraction le nombre des guérisons.
Il va de soi que le chiffre total des contaminations est sans cesse sous-évalué : il dépend des déclarations minorées et du nombre de porteurs contaminés non encore repérés.
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Pour Lauren Gardner, directrice de l’équipe attelée à ce travail exceptionnel de recensement en continu, il est essentiel que “le public comprenne la situation à mesure qu’elle se déroule”. C’est on ne peut plus vrai.