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Une franchise spécialiste du recrutement dans les métiers du BTP, de l’industrie, de la logistique et du tertiaire. Avec 50 agences en France, l’enseigne TOMA Intérim poursuit son ascension. Zoom sur une franchise à fort potentiel.
Tous deux viennent d’un major de l’intérim. Et en 2006, Virginie Torres et Michael Marrel s’associent pour créer la marque TOMA Intérim, à Saint-Étienne (Loire). D’abord trois agences. Puis, au regard du succès, les deux entrepreneurs décident de lancer leur franchise. Avec en tête, la volonté de redonner une dimension humaine à l’intérim, trop souvent délaissé par les grands acteurs du travail temporaire en France.
Fort accompagnement et profils polyvalents
LE PROFIL RECHERCHÉ : DES ENTREPRENEURS AVEC LA FIBRE COMMERCIALE EN B TO B, DES HOMMES ET FEMMES DE TERRAIN, QUI AIMENT LA PROSPECTION COMMERCIALE DES TPE-PME
TOMA Intérim ne recrute pas systématiquement des profils issus de TOMA Intérim, l’intérim pour réussir l’intérim. Au contraire, dans le réseau plus de 60 % des franchisés ont découvert le travail temporaire grâce à la marque TOMA. Le profil recherché : des entrepreneurs avec la fibre commerciale en b to b, des hommes et femmes de terrain, qui aiment la prospection commerciale des TPE-PME. Sans oublier une forte connaissance de la zone d’implantation.
Surtout, et c’est sans doute l’un des piliers pour réussir en franchise, tous les membres du réseau sont accompagnés tout au long du parcours et du développement de leurs activités. L’enseigne est spécialisée dans les domaines du BTP, de la logistique, de l’industrie ou du tertiaire. Le droit d’entrée est de 24 000 euros. Le franchiseur met à disposition vingt experts métiers qui accompagnent les entrepreneurs indépendants sur des problématiques spécifiques (juridique, comptable, communication, informatique, animation commerciale, etc.)
Pour perfectionner les connaissances du candidat, une formation post-ouverture est réalisée. Il s’agit de trois semaines de formation sur chaque item du métier, indispensable pour maîtriser ce type d’activité, et quinze jours de formation terrain pour passer de la théorie à la pratique. Et après la formation viennent les retombées. « Aujourd’hui, avec un investissement global de 170 000 euros, si le candidat applique nos méthodes, nous pouvons lui garantir un ROI (retour sur investissement, ndlr) en deux années et rapidement une rémunération annuelle avec dividendes à six chiffres », confie Dominique Ravel, directeur opérationnel du réseau.
Une marque proche de ses collaborateurs
Chez TOMA Intérim, les franchisés et la tête de réseau travaillent main dans la main. Si les franchisés doivent porter les couleurs de la marque et garantir le respect du concept, le franchiseur reste à l’écoute et privilégie les échanges afin de faire vivre et évoluer sa marque. Concrètement, des commissions de travail sont régulièrement mises en place sur des sujets centraux comme la communication, ou la digitalisation des pratiques de travail. Entre autres.
La redevance, voilà l’une des particularités de la franchise TOMA. Car contrairement à la majorité des réseaux de franchise, elle est collectée sur le volume de marge brute et non du chiffre d’affaires. Une manière d’optimiser la marge brute de l’entrepreneur. « La réussite de nos franchisés passe avant la nôtre », défend Michael Marrel, co-fondateur de TOMA Intérim. Surtout, c’est bel et bien la réussite des franchisés qui conditionnera celle de l’ensemble du réseau.
Une réussite qui s’accélère, le réseau se déploie à un rythme de 7 à 10 ouvertures d’agence par an. En 2023, l’enseigne a dépassé les 50 agences franchisées et intégrées, et continue
ses projets d’ouvertures d’ici à la fin de l’année (La Rochelle, Grand Est, etc.). Surtout, TOMA Intérim ne compte pas s’arrêter en si bon chemin, son ambition ? Atteindre les 100 agences en France d’ici à 2028 !
GEOFFROY GAMEIRO
