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C’est une enseigne que vous connaissez tous. Tryba est installée au coeur de la vie des Français, marquant les mémoires avec sa célèbre mascotte à l’allure de jeune sumotori.
« Tryba est concepteur, fabricant et installateur de menuiseries, et représente le réseau numéro un dans l’amélioration de l’habitat en France. L’enseigne propose à ses franchisés la vente et la pose de menuiseries fabriquées en France à destination des particuliers », définit d’emblée Marie-Emmanuelle Ascensio, responsable développement réseau franchise. Le réseau Tryba s’appuie sur une expérience solide et un savoir-faire désormais un animement reconnu. L’enseigne, voit le jour en 1980 en Alsace à l’initiative de Johannes Tryba, toujours actuel PDG du groupe. Aujourd’hui, « Tryba compte 190 franchisés, exploitant plus de 300 points de vente en France, pour un chiffre d’affaires réseau de 270 millions d’euros. Le chiffre d’affaires moyen d’un franchisé à terme est de 1,350 million d’euros par an, dans le cadre d’une équipe comprenant 6 à 8 salariés », précise Marie-Emmanuelle Ascensio.
UNE ENSEIGNE RECONNUE DANS SON SECTEUR, QUI BÉNÉFICIE D’UNE TRÈS BONNE NOTORIÉTÉ
Une croissance qui s’envole… donc un recrutement actif
Marie-Emmanuelle Ascensio précise l’état des lieux du secteur d’activité dans lequel évolue Tryba : « La vente de menuiseries est présente sur un marché stable et pérenne, car les Français consacrent du temps et un budget important pour la rénovation de leur habitat, qui est généralement leur bien principal. Depuis la crise covid, demande est renforcée, car les Français ont pris conscience des travaux de rénovation à entreprendre chez eux pour plus de confort ; elle est aussi consolidée par des normes gouvernementales et environnementales de plus en plus exigeantes ».
Quid du recrutement ? Il est au beau fixe selon la dirigeante : « Tryba intègre 80 % de porteurs de projet qui n’ont pas d’expérience dans l’activité, les forme et les accompagne pour réussir dans leur nouveau challenge. Nous recherchons un profil commercial, avec une appétence pour la technique et du leadership pour développer son business et manager à terme une équipe pluridisciplinaire de 6 à 8 salariés, comprenant des commerciaux et des techniciens- poseurs ».
Le réseau cherche à recruter car il est en pleine envolée de croissance. Il cherche à mailler mieux encore un territoire qui n’a déjà plus beaucoup de secrets pour lui. Marie Emmanuelle Ascensio le dévoile sans faux-semblants : « Oui, Tryba continue le développement de son réseau, en ouvrant une quinzaine de points de vente tous les ans, et en vendant quelques fonds de commerce, lors de départs en retraite des concessionnaires. L’objectif est d’avoir à terme 400 points de vente en France, y compris sur des villes de taille moyenne ». L’enseigne concède un secteur géographique exclusif d’environ 150 000 habitants, et se présente comme le numéro un de son secteur en nombre de franchisés et de magasins.
Une politique de formation aboutie
Côté chiffres, là-encore Tryba parvient à séduire. « L’investissement pour créer une franchise Tryba est d’un montant de 120 000 euros, avec un apport personnel requis de 40 000 euros, intégrant la trésorerie de démarrage. Tryba ne réclame aucun droit d’entrée à la franchise, et ne demande pas non-plus de royalties sur le chiffre d’affaires », détaille Marie-Emmanuelle Ascensio.
La formation, la pierre angulaire pour la réussite des futurs franchisés, et donc du réseau dans son ensemble. Tryba l’a bien compris : « Tryba accompagne, de façon personnalisée et très présente sur le terrain, les porteurs de projet à toutes les étapes : informations sur le concept, visite du siège et de l’usine principale du groupe, vis ma vie de futur concessionnaire, recherche d’un local adapté, obtention d’un financement, création de la société, aménagement du local et du showroom, installation des logiciels, et formations gratuites à leur nouveau métier. Durée de mise en oeuvre du projet : environ neuf mois ». Un accompagnement complet qui a de quoi rassurer les intéressés. Prêts pour l’aventure ?
VALENTIN GAURE
PARLONS CHIFFRES
Droits d’entrée : aucun
Investissement : 120 000 €
Apport : 40 000 €
